Les rencontres au travail...
"Jeune cadre sup dynamique consacrant la majorité de mon temps à mon travail, je souhaite aujourd'hui rencontrer mon alterego pour construire une vie à deux."
Voilà à quoi pourraient ressembler les annonces déposées par mes con-frères cadres.
Peut-on vraiment faire des rencontres amoureuses sur son lieu de travail? Je pense, en effet que OUI on le peut ! Je crois même, qu'avec les bancs de l'école, le lieu de travail reste l'endroit où la chasse est la plus facile. Quoi de mieux que le costard pour emballer la cadre encore (et toujours) célibataire?
J'ai quitté un gros groupe assez masculin pour un autre gros groupe plutôt féminin par son secteur d'activité mais aussi sa population. De nouvelles rencontres en perspectives...allez, laissez moi y croire !
Facebook pour les recruteurs...faut se méfier !
Réfléchis à deux fois avant de poster la photo de ta dernière beuverie...
En effet, candidats à l'emploi, étudiants, méfiez-vous d'internet ! Désormais, les recruteurs n’hésitent pas à fouiner pour apprendre tout de leurs futurs salariés, via les moteurs de recherche ou les sites communautaires, surtout Google et Facebook. Facebook regorge d’informations relatives à la vie privée et de données personnelles.
-> Selon une étude d’août 2008 du cabinet de recrutement Robert Half, 94 % des DRH français recourent de moins en moins aux modes traditionnels de sélection, comme la vérification des CV. État-civil, études, centres d’intérêt, photos, vidéos, vie privée : Google, Facebook ou d’autres sites comme Copains d’avant sont une mine d’informations pour les recruteurs dans leur quête de l’oiseau rare. “Il est plus intéressant d’avoir des références autres que celles fournies par le CV. Internet permet de savoir ce que la personne a pu faire par le passé”, explique Thierry Verdier, chasseur de têtes au cabinet 1.001 Talents. “Pour recruter, nous passons par des cabinets. Ils utilisent tout ce qui est à disposition sur Internet pour recruter le candidat qui correspond au poste”, reconnaît-on à EDF.